Gabriel Lepesqueux

·         Comment t’es venue l’idée de pratiquer l’athlétisme ?

J’ai connu l’athlé en 6^ème au collège Saint-Joseph avec Mr Leblond qui nous amenait sur les courses UNSS. C’est ce qui m’a donné envie de m’inscrire dans un club.

·         Qu’aimes-tu dans les disciplines que tu pratiques ?

Le dépassement de soi avec les entrainements qui sont difficiles.

Sur le 800m, l’année dernière, j’ai changé d’entraineur pour passer avec Alain [Bunel], il y avait un groupe homogène avec Claire et Marine donc on a fait pas mal de séances communes. Même si je faisais mes séances tout seul devant, c’est agréable de savoir qu’on n’est pas tout seul à se faire mal sur le même type de séance. J’ai aussi appris à moins courir mais courir mieux. Et je pense qu’à 30ans, on fait plus attention qu’à 18ans pour ne pas se blesser.

·         Ta plus grande peur ?

Au niveau du sport, c’est d’être blessé parce que j’ai quand même été régulièrement blessé quand j’étais plus jeune donc je fais attention. Quand on se blesse l’hiver et au printemps, ça « pourrit » toute la saison et ne permet pas de concrétiser ce qu’on fait à l’entrainement.

·         Tes objectifs de la saison ?

Je voudrais faire un peu de cross et essayer de battre mon record sur 1500m (4’08’’) qui date de 2008. Je pense que c’est un des seuls records que je pourrai battre maintenant.

·         Quel est ton plus beau souvenir sur le stade ?

Sur le stade, c’est mon record sur 800m en 2006 à Tourlaville, lors des interrégionaux, ce qui m’avait permis de me qualifier aux championnats de France. Donc ça reste une très bonne course !

Sinon j’ai un autre souvenir, c’est les France de 2008 où j’étais espoir à Lyon et j’avais du prendre la 13^ème place. Sur 800m, j’étais parti à l’époque avec Louis Lamotte.

·         La discipline que tu ne peux pas faire ?

Vu ma fragilité, je dirais peut-être les sauts. Quand j’étais plus jeune, j’aimais bien faire du triple saut mais je sais que maintenant même faire un simple bon je risque de me blesser.

·         La phrase que tu dis tout le temps ?

Je n’en ai pas spécialement.

Nous lui souhaitons une bonne saison en espérant qu'il ne soit pas gêné par les blessures.